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Miss K et Moi

Blog de survie d'une maman et de son ado

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Atelier couture pour miss K

Atelier Kouture !

C’est avec Mélanie Marasse (créatrice de la marque Minimel) dont on vous parlait déjà ici que Miss K a participé à un atelier couture pour enfants et ados à Marseille dans le superbe lieux A Little Family.

A Little family c’est un espace dédié au bien-être de tous, en plein coeur du quartier animé de Saint Victor à Marseille. Au menu : Sport, Esthétique, Coaching, Ateliers, Massages, Sophrologie, Méditation, Pilates, Yoga kids, garderie…

Petit détail qui a son importance, cet espace propose des ateliers pour ados : Sophrologie, stages coutures, thêatre… Et ça missK et moi on apprécie !

 

Une belle journée

Pour ce stage couture c’est Mélanie qui avait la douce charge de s’occuper de son petit groupe en formule demi journée, journée ou même semaine.

Miss K a passé une journée a créer, coudre et apprendre avec les conseils expérimentés et appréciés de la douce et talentueuse créatrice.

Miss K customise déjà ses vêtements depuis quelques années, apprendre à créer soi même et pouvoir réaliser des accessoires ou des vêtements est un bel apprentissage. En ce qui me concerne, je suis passée à l’atelier et j’ai été bluffé par la patience et la dextérité des enfants présents ce jour là.

Si vous habitez Marseille n’hésitez pas à découvrir ce lieu parfaitement adapté aux enfants, ados et parents !

Bref, merci Anne-Laure et Mélanie pour ce si joli moment 😉 Miss K est reparti avec une nouvelle expérience couture, je vais lui faire mes premières commandes !

Maman K 

 

J’ai passé une très bonne journée en compagnie de Mélanie chez A little Family. J’ai pu apprendre à coudre une pochette pour mon make-up et des chouchous pour cheveux.

Ce qui m’a le plus plu dans l’atelier c’est le fait de créer soi même ses accessoires, le choix de tissus était top et Mélanie était douce et agréable.

Ce que j’aime dans la couture c’est créer et pouvoir avoir des accessoires ou vêtements DIY, chaque pièce est unique.

Merci Mélanie pour ton temps, ta patience et ta gentillesse.

Miss K

 

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Concours inside !

Pas facile facile pour les ados de trouver des fringues « validées », pas facile non plus pour les mamans d’ados d’approuver le « validable ».

Drôles de modes, drôles de tendances, back to 90’s : on vous en parlait déjà par ICI…Des marques fétiches, la recherche paradoxale de l’anticonformisme sans lâcher vraiment le standard.

Original mais pas trop, tendance mais unique, adulte mais enfantin…Les ados et leurs codes c’est tout un poème ! Voir un casse tête chinois

Il y a peu de temps missk et moi avons découvert une nouvelle marque de vêtement ados : Tao Tweens.

La marque Tao Tweens appartient à la marque Tape à l’oeil…Je vous entends déjà les mamans et pire les ados vous dire « mais c’est une marque pour les enfants!?! » Oui on se calme moi aussi maman K j’avoue avoir eu un à priori...

Mais vite revu car la collection est juste top. Et Miss K a vraiment craqué sur leurs fringues. »Yes 😉! »

Tao Tweens c’est quoi alors? Exprès pour vous mes lektrices bien aimées, sans plus attendre le pitch rapide et efficace :

C’est une marque co-créée par les ados et pour les ados.

Les 10/16 ans ne sont plus enfants mais pas encore adultes. Ils sont « in between ». Les aider à se sentir bien dans leurs baskets et à ne plus se poser de questions le matin quand ils s’habillent : c’est la mission que propose TAO TWEENS.
Les pièces de la collection sont 100% validées par de vrais ados, invités régulièrement chez TAO. La marque s’inspire des tendances qui émergent sur Instagram et les podiums des fashion weeks ( « Ah pas pareil hein les ados ? 😉 ). Coupes oversized et cropped pour les filles, color block et superpositions pour les boys : le match parfait pour être tendance sans se prendre la tête.

 

 

 

Le pantalon c’est par là  – Le pull en maille souple c’est par ici

ON MAINTIENT SON ATTENTION, ON NE DETACHE PAS LE REGARD : RIEN QUE POUR VOUS CONCOURS INSIDE ! 

Miss K vous propose un concours pour tenter de gagner une tenue Tao Tweens, marque spécialement pensées pour les ados.

Deux tenues de 50€ à gagner par deux gagnant(e)s.

Petit rappel la collection s’adresse aux filles et aux garçons!

A vous de jouer !
Pour participer Rendez-vous sur les pages instagram :
-Abonnez vous à @missketmoi et @taoweens
-Likez ce post
-Commentez :
         Pour les mamans quel est le look de votre enfant qui vous dépasse?,
         Pour les ados quel est le look que vos parents ne captent pas bien sur vous ?
Vous avez jusqu’au 28/10 23h59 pour participer. Le tirage au sort aura lieu le 29/10. Les gagnants(es) sera(ont) tiré(es) au sort et annoncé(es) en commentaire de ce post, ainsi qu’en story.
Bonne chance à tous et toutes !
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Grandir vs Vieillir

« Profite du temps présent, la vie passe en un instant » Maxalexis, une citation qui me rappelle que les années défilent à une allure monstre.

En tant qu’adolescente c’est vrai que la notion du temps et le fait de grandir nous échappe parfois.

A cette période nous sommes souvent dans l’insouciance ou dans le reflet des responsabilités, au fond je pense que c’est seulement une façon de montrer notre peur du changement.

Ce changement concerne tous les domaines car lorsque l’on grandit nous changeons tout d’abord physiquement mais nous commençons également à nous découvrir mentalement.

Il est parfois bien de prendre un instant pour faire le bilan de notre évolution et de voir comment l’on a grandi. Ce qui peut notamment faire peur car on comprend que le temps passe et que l’on grandit de jour en jour. 

Pour ma part, je suis parfois effrayée à l’idée de grandir, car j’associe cela avec le fait d’avoir énormément de responsabilités.

Il est vrai que dans cette période d’adolescence j’ai envie de profiter et de parfois faire comme si rien ne comptait vraiment.

Mais le fait de grandir peut aussi être vu d’un angle plus positif car on devient de plus ou plus indépendant, on a un peu plus de liberté et on est plus perçu comme des petits.

Je pense qu’il faut profiter du temps mais aussi prendre conscience que l’on grandit…Et toi, comment tu ressens le fait de grandir ?

Miss K

« Grandir c’est un choix, vieillir c’est une obligation »,

Hier matin je souhaitais le quarantième anniversaire à une amie très proche, pendue à mon téléphone comme nous en avions l’habitude à ton âge miss K (ce qui avait pour habitude de rendre sa mère un peu chèvre d’ailleurs, nous avions toutes deux fait augmenter la facture téléphonique…).

25 ans séparent nos conversations d’avant avec celle d’hier matin…Et pourtant, ni elle ni moi ne nous sentons plus vieilles ou bien différentes des ados que nous étions. Les quadras lorsque l’on se voit ou que l’on se croise on a souvent l’impression que rien a changé au fond.

Je te vois venir miss K :

-soit on est sous alcool 

-soit on a des problèmes de vue car physiquement nous ne sommes plus vraiment des canons (oui nous étions canons je te signale!)

Ca fait quoi alors de vieillir ? 

Ok parfois ce n’est pas vraiment le pied (expression de vieille) pour plusieurs raisons :

  • A ton âge (je devrais retourner dans les années 90 me botter les fesses) toutes les personnes au delà de 30 ans étaient des vieilles. Maintenant c’est un peu mon tour de passer pour la vieille maman. En ce sens là ça fait bizarre.
  • Avant, lorsque je racontais un souvenir c’était « il y a 5 ans » puis ça a glissé lentement et insidieusement vers un « Il y a 10 ans » pour finir en un « Il y a 25 ou 30 ans ! » Alors là je l’avoue c’est la loose.
  • La première fois où l’on t’appelle Madame, (ce même instant où tu as soit l’envie d’être hyper violente et frapper ton interlocuteur à coup de sac à main, soit l’envie pleurer toutes les larmes de ton corps).
  • Le moment où les premières rides font leur apparition avec dans la foulée les premiers cheveux blancs (le fameux pack « pour un acheté l’autre offert »).
  • Lorsque tu te couches tard et que tu mets trois jours pour t’en remettre, alors qu’avant tu étais fraîche comme la rosée dès le lendemain (et que tu te promets de ne plus le refaire mais que tu le refais quand même)
  • Quand tu sors en soirée et que tu te retrouves dans des endroits où tu allais avant (tu sais dans les années 1990…Rien que de commencer à prononcer mille neuf cent quatre vingt dix… je ne me sens pas bien) et que soudain la moyenne d’âge et la moitié du tien.
  • Quand je te parle de minitel, de cabine téléphonique, de tamagoshis, de disquettes d’ordinateurs, de cassettes audios ou vidéos, de francs, de game boy, de walkman, de crados, de scoubidous, de colle cléopatre ou d’osselets…et que tu n’as pas la moindre idée de ce que c’est.
  • Quand je te montre un film culte de mon adolescence et que tu trouves ça naze (il est vrai que quand je regarde la qualité de l’image, les effets visuels bien pourris ou les répliques douteuses, j’ai parfois honte mais je t’envoie plutôt  « pff tu comprends rien »)
  • Quand je te dis « moi quand j’étais ado » (et qu’au moment où je te prononce cette phrase je n’arrive même pas à me souvenir l’année et je ne me souviens pas plus des noms des gens de ma classe, encore moins des noms des profs).
  • Quand j’arrive à mon cours de danse et que j’ai plus du double de l’âge de certaines filles (je mets beaucoup d’énergie à ne pas me tromper dans les pas sinon c’est aussi doublement la honte)

Bref, il y a encore bien d’autres occasions qui me font me sentir vieille 🙁

Mais, malgré tout cela, malgré les années qui se sont écoulées j’ai envie de te dire que ce n’est pas si mal. 

Lorsque l’on vieillit on commence à savoir ce que l’on veut et surtout ce que l’on ne veut pas, on avance avec nos expériences passées en apprenant de nos erreurs et en savourant les moments différemment. 

Chaque année qui s’est écoulée et comme un morceau supplémentaire du puzzle qui me construit, pour rien au monde je n’enlèverai une pièce car même les moments les plus difficiles font de moi celle que je suis, les erreurs m’ont permis d’apprendre et d’aller de l’avant.

Je suis la vieille ok, mais la vieille cool, la vieille marrante, la vieille pas si loin du côté de la plaque, j’arrive encore à t’étonner tout en restant assez jeune dans ma tête pour te comprendre, je ressens ce que tu éprouves car j’ai le souvenir de ce « qu’être ado » signifie. Et si mon expérience de vieille peut servir à ton expérience de jeune, tant mieux je me sens bien utile. 

On m’appelle Madame ok, mais cela ne m’empêche pas de m’inscrire à un cours de Hip Hop. Pour les cheveux blancs je les teins (il est temps d’ailleurs de retourner chez la coiffeuse). Pour les soirs où je me couche tard, il y a toujours du Dafalgan et le fond de teint coule à flot (à défaut du champagne de la veille). Pour les objets qui ont animé mon adolescence  c’est toujours l’occasion pour une anecdote ou une histoire qui peut te télétransporter avec moi dans le passé.

« La peur de vieillir abîme plus que l’âge » disait Jeanne Moreau…

Je n’ai pas vraiment peur ma belle car vieillir ce n’est pas seulement accumuler les années, les rides, les bobos, c’est aussi emmagasiner un tas de jolies choses en soi : les rencontres, les expériences professionnelles, les échanges, les souvenirs, les voyages, le souvenir d’une grand mère qui me transmettait ses valeurs, celles que je te transmet à mon tour, tes premiers mots, tes premiers pas, tes fous rires, tes premiers articles ici ;-)…C’est un peu comme une valise que l’on remplit au fur et à mesure de notre vie. Dans cette valise on sait mieux à 40 ans qu’à 15 ans ce qui est lourd et pesant, ce qui est inutile ou encombrant, ce qui est précieux ou ce qu’il ne faut perdre pour rien au monde.

Et ça miss K c’est plus facile à faire vers 40 ans que vers 15…

On se connait un peu mieux aussi, car cela fait 25 ans que l’on a eu 15 ans, du coup on a eu le temps de bavarder avec soi même, de comprendre qui l’on est pourquoi l’on porte la valise et vers où c’est important de l’amener.

On peut penser que Vieillir c’est se ratatiner, c’est avoir de moins en moins d’autonomie de batterie de vie mais tu vois miss K, de par nos chemins de vie et nos introspections personnelles vieillir n’est pas du tout diminuer au contraire c’est aussi et surtout grandir. 

Grandir en patience, tendre vers une forme de sérénité, s’écouter, apprendre à s’apprécier, aimer transmettre, continuer à se dépasser, à se surpasser, sortir de sa zone de confort sans avoir peur du regard des autres (car oui à 40 ans tu finis par emmerder les gens qui ne t’apprécient pas, tu les plains juste d’être jaloux mais cela te touche moins qu’à 15 ans)…

Alors voilà miss K, finalement je ne vieillis pas je grandis encore tout comme toi 😉

PS : Pour Marianne, notre nouvelle lectrice : cette fois ci essaye de ne pas pleurer 😉

Maman K

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Les années Lycée…

Il y a quelques semaines nous avons tous repris les cours, en ce qui me concerne j’ai fait ma rentrée en seconde…oui j’ai enfin quitté  le collège et je me retrouve au lycée!
Alors que dire de ce début d’année ?

Avant d’arriver au lycée on m’a souvent dit qu’il y aurait beaucoup de changements, et effectivement je le vois, et le ressens mais je ne saurais le qualifier de positif ou négatif.

En ce qui me concerne je suis plutôt mitigée, car c’est vrai qu’il peut y avoir de bons côtés comme le fait qu’on se sente un peu plus libre, ou qu’on nous laisse en totale autonomie ce qui peut vraiment faire du bien comparé au collège. 

Il y a aussi énormément de monde, ce qui n’est au fond pas clairement si mal, car on ne fait pas trop attention les uns aux autres, chacun fait sa vie, et j’avouerai qu’il y’a parfois des moments où on se sent comme noyé dans cette masse de gens.

Ce que j’apprécie aussi dans toute cette foule et ce que je remarque surtout c’est que les styles vestimentaires sont beaucoup plus diverses, chacun s’habille, se maquille comme il veut et on n’est pas forcement jugé, ce que j’appréhendais à la base, mais on trouve vraiment de tous les styles et j’aime particulièrement ça. 

Je peux aussi remarquer que j’ai quand même du mal a m’y faire, à m’ habituer à ce changement, j’ai parfois comme un drôle de sentiment que je ne saurais expliquer mais ce qui me rassure c’est que lorsque je discute avec d’autres personnes elles partagent souvent mon avis. 

Est-ce qu’il y a également le fait que je n’ai plus tous mes amis? 

Je pense que ça y contribue car dans le fond la « routine »  dans laquelle nous étions dans le collège a été brisée, et donc les habitudes régulières se perdent, ce sont des habitudes auxquelles on a tous un peu pris goût, et que nous n’avons plus. J’ai heureusement certains de mes amis avec moi… mais d’un autre point de vue le fait de ne pas avoir que des personnes que l’on connait cela permet aussi de sympathiser avec d’autres personnes et de faire de nouvelles rencontres, et peut-être bien repartir dans de nouvelles routines. 

L’arrivée au lycée malgré ça  n’a pas été si mauvaise dans la globalité, il faut juste prendre le temps de s’habituer, à ce grand changement, et j’ai déjà pu faire de belles rencontres… 

Apparemment le lycée est l’un des meilleurs moments dans la vie de l’adolescent, le moment où le plus de souvenirs se créent, où l’on fait plein de rencontres… alors je n’ai plus qu’à attendre et voir comment la suite se passera 😉 

J’espère que vos rentrées, et premières semaines se sont bien passées, bisous 

Miss K!

Flashback :

Mardi 2 septembre 14 h : Elle est partie comme si elle rejoignait ses amies pour l’après midi, avec comme accessoire son air déterminé, sa soif de découverte et son sac sur l’épaule en mini dame comme elle l’a toujours fait.

Il y a des rentrées qui sont toujours de grands moments dans la vie d’une maman…1er jour de crèche, 1ère année de maternelle, CP, 6ème et maintenant seconde…Le temps file à une allure folle, on passe du bac à sable au bac tout court en un claquement de doigts. Mon coeur de maman se plisse encore un peu, je sens mes cheveux grisonner pour l’occasion et mon stressomètre monter en pression ultime façon réchauffement climatique.

15h : je me demande comment elle vit tout ça, comment trouve-t-elle son lycée, les enseignants ont-ils plus d’infos sur le virage de la réforme qu’ elle s’apprête à attaquer de plein fouet? je vous passe les centaines d’autres questions qui défilent dans mon petit cerveau…

3 heures plus tard, claquement de portière, la belle s’est installée dans la voiture sachant qu’elle aurait droit au «  Alors? »…Je l’ai trouvé plus évasive que pour ses rentrées de collège, plus mystérieuse…

« On verra, je connais pas grand monde dans ma classe mais mon emploi du temps me plaît ».

Et voilà, quelques semaines se sont écoulées depuis la rentrée, la réunion parents-profs m’a éclairé ou pas sur certains sujets. Sortir de cette courte  réunion (non j’déconne deux heures, quand même ! – C’est moi ou plus ils grandissent ou plus les réunions se font longues et en mode marathon? ) me répéter les leitmotivs des profs : Travailler, ne pas se louper, être studieux, s’accrocher face à la somme de travail qui va arriver, se positionner rapidement sur ses choix pour la première, choisir sa destination pour le voyage scolaire (quoi ? Un voyage scolaire, le bus, l’avion, les moments avec les copines, les copains…hein ?) j’avoue j’ai décroché, j’ai visualisé, et là : électroencéphalogramme extra plat. C’est un super pouvoir de maman ça, se projeter dans les images avec la volonté masochiste de se faire du mal entre nos peurs et nos propres souvenirs de nous au même âge…

« Si vous n’avez pas d’autres questions je laisse mon tour à mon collègue ». Je reviens à moi après avoir transpiré mon stress en me disant au passage que je ne serai jamais à l’heure pour le repas, j’envoie un « Commencez à manger sans moi » à ma famille. Je m’accroche à mes notes, je ne veux pas mettre la honte à miss K je suis studieuse j’écoute attentivement et surtout j’ai quand même bizarrement toujours un peu peur des profs et l’idée de me trouver dans une salle de cours me remue l’estomac.

J’ai foulé le couloir du lycée, j’ai mis des sons et des images en imaginant la cohorte de lycéens dans les escaliers au moment de la sonnerie et les moments qui se créent entre deux cours.

Et surtout je me suis replongée dans mes années lycée, pas forcément les meilleures années de ma scolarité mais celles où j’ai commencé à me sentir effectivement plus libre, plus « grande » mais pas forcément mieux armée ni plus solide. Parfois en insécurité totale, dans le doute de mes choix scolaire ou de mes choix d’amitiés.  Mais j’ai eu aussi des souvenirs bien ancrés, des moments de folies, de fous rires, de bien être. Des profs inoubliables qui ont changé la donne et d’autres que je n’aurai jamais voulu croiser et qui je l’espère ont fini veuves dans un appartement humide entourées de chat de gouttière (non oublie les chats ils sont probablement mieux dans les gouttières ils ne méritent pas des maîtres méchants).

Miss K n’a pas le même caractère que moi, chacun appréhende cette année de seconde selon ses qualités, ses faiblesses le tout avec l’atmosphère familiale qui vient teinter nos humeurs, nos peurs ou nos envies. Plus mature, plus courageuse et téméraire, moins déstabilisable, moins influençable, miss K est plus armée que moi au même âge.

15 ans, c’est pour bientôt du coup…Purée 15 ans…Amitiés, amours, bonnes ou mauvaises notes, choix scolaire pour l’avenir, petits ou grands bonheurs, petites ou grandes décisions…Plusieurs solutions s’offrent à moi : 

  1. Fermer les volets de ta chambre t’y enfermer pour trois ans et attendre que ça passe.

2) Te proposer de partir faire le tour du monde, te foutre dans mon sac à dos et te porter comme le font les bonobos dans la jungle.

3) Me faire discrète, te laisser de l’espace en étant là quoi qu’il arrive. Te faire confiance, te voir prendre encore plus confiance et t’épauler dés que tu en auras besoin. T’entendre rire au téléphone, (même si parfois j’ai l’envie démentielle de positionner ton smartphone juste devant mon pneu avant et de passer successivement la marche avant-arrière-avant-arrière…), t’entendre t’emporter, te voir te mobiliser pour des choses auxquelles tu crois et t’encourager à rester toi même sans jamais laisser aucun miroir te refléter une image erronée de toi même. 

Avoir l’air de rien mais veiller au grain chaque jour de loin dans l’ombre. Te parler, ne pas te parler, t’écouter, t’écouter vraiment mieux car j’écoute décidément pas bien, inspirer expirer quand tu pousses le bouchon un peu trop loin, rire, ne pas rire, te poser des questions, ne surtout pas te poser de questions, t’aider, ne surtout pas te proposer de l’aide, mettre des limites même si ce n’est pas mon fort, t’aiguiller au mieux, ne pas avoir envie de me pendre quand apparemment je ne t’aiguille pas bien, écouter tes envies, essayer de comprendre tes goûts d’ado douteux, me dire que mes goûts l’étaient aussi (mais purée que je les aimais mes fringues)….Etre donc la mère funambule qui une fois de plus essaye de trouver au mieux la posture la plus appropriée pour trouver un équilibre même fragile et éphémère, réajuster les gestes et les dosages malgré l’incertitude de ton adolescence mais ne rien lâcher et avancer avec beaucoup d’amour et de bienveillance.

Et si je penchais pour la solution 1? ( j’ai pas assez de tunes pour la solution 2) 😉

Profite miss K, la force est en toi… 

Maman K

 

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Billet d’humeur

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Pas toujours facile d’être une ado

Pas toujours facile d’être une ado, et encore moins de nos jours, dans cette société où l’on juge tout le monde et tout le temps ou lorsque notre futur s’avance à grand pas.

Il y a tout le temps un moment où l’on craque .Ce n’est pas si simple, plus le temps passe plus l’on voit les changements arriver: dans notre comportement, de notre physique à nos choix, nos envies, nos styles…

Je suis en fin de quatrième et l’année prochaine sera ma dernière année au collège. J’ai toujours voulu être grande mais maintenant je me dis que j’aimerais bien arrêter le temps et tout stopper. Pleins de craintes et de doutes s’installent, je veux profiter mais avancer.

On peut aussi facilement se perdre entre le réel et le faux par exemple sur les réseaux sociaux. Il y a aussi le fait que chacun de nos mouvements sont regardés, critiqués et évalués.

Il y a parfois des moments où on aimerait partir changer de ville rencontrer de nouvelles personnes de nouveaux paysages et de tout recommencer à zéro. C’est souvent le cas pour moi, il y a des jours où je ne me sens plus à l’aise et je rêverais de partir à l’aventure dans ce monde de merveilles. Mais il y a aussi des jours où je voudrais que rien ne change et que tout reste pareil.

Et plus tard?

On ne change pas que mentalement mais aussi physiquement, parfois je me demande comment je serai dans dix ans, qui sera encore là et qui m’aura abandonné.

Est-ce que j’aurais réussi, mes rêves seront-ils devenus réalité… J’ai envie de voir et d’avancer mais la peur de l’inconnu me rattrape. Tout serai plus simple si nous avions écrit notre histoire à l’avance.

En même temps, ne pas tout savoir  en avance est plus rigolo et moins ennuyeux.

Au collège on nous demande déjà ce que l’on voudrait faire plus tard comme une urgence absolu. On aimerait que l’on soit sérieux  et que l’on ait des bonnes notes pour pouvoir réussir et tout cela met tellement de pression! De temps en temps on aimerait juste profiter et ne se soucier rien.

Je connais des personnes qui ne savent pas ce qu’elles voudraient faire plus tard qui attendent le dernier moment pour se lancer dans l’inconnu.

Ensuite,  il y a des personnes qui savent vaguement mais on une petite idée.

Puis enfin il y a les personnes comme moi qui savent déjà tout de ce qu’elles veulent faire,  où elles veulent aller, mais ça peut provoquer des doutes et des décisions prises trop tôt.

Plus tard j’aimerais être styliste ou du moins quelque chose d’artistique parce que c’est ma manière de m’exprimer et le seul domaine ou je me sens vraiment à ma place.

J’aime la danse, le dessin et  la création mais je me dis qu’il ne faut pas toujours confondre rêve et réalité, mais qu’en même temps on peut aussi poursuivre ce que l’on veut et ce qu’il nous plait!

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Insu-PORTABLES….le smartphone et les ados

Le téléphone portable chez les ados

Le mot de Miss K

Grand débat et sujet tabou, avec les parents, le téléphone pour moi est un objet semblable à un autre il n’est pas vital.

La génération d’aujourd’hui évolue avec les écrans, les réseaux… Les parents disent toujours cette phrase: « Nous avant, nous n’avions pas les écrans et on s’amusait bien ».

Justement ils n’ont pas « grandis » en quelque sorte avec, alors que nous adolescents d’aujourd’hui, on s’en sert comme un objet du quotidien. Mais comme tout objet de « mode » cela crée des malentendus, il y a plusieurs téléphones qui coutent cher donc il y aura forcement des personnes qui jugeront les moyens, car on ne met pas tous le même prix dans un téléphone mais on ne devrait pas être jugé sur ça.

Je me sers à la base de mon téléphone pour appeler, avec les réseaux sociaux je n’envoie pratiquement plus de messages je me sers seulement de snapchat, je pense que je ne suis pas la seule a faire ça ;-).

Je suis aussi très présente sur les réseaux sociaux, j’écoute souvent la musique comme la plupart de mes copines. Maintenant on peut à peu près tout faire avec un téléphone, je pense que c’est bien mais il ne faut pas rester trop dessus non plus parce que n’oublions pas que ça reste un objet et non une personne.

Après on évolue avec cette technologie donc pour moi il faut quand même ne pas trop être indifférent à ça.

J’aime bien les réseaux sociaux mais je pense qu’il y a plus de mauvais que de bons cotés car pour les gens c’est souvent plus facile de se cacher derrière un écran pour insulter, donner son avis…

Je trouve ça totalement ridicule nous devrions poster ce que l’on veux,  écrire ce que l’on veut du moment que ça reste poli et que ça ne blesse personne.

On a une liberté d’expression, si on n’aime pas une publication ou une video on est pas obligé de le faire savoir à tout le monde et encore moins de donner des méchancetés en commentaire.

Petit sondage :

Avec des amies en classe avons eu le devoir de faire un sondage on a donc choisi le thème du téléphone et des écrans:

  • 8 ados sur 10 disent que le téléphone est un objet quelconque, les 2 autres trouvent que celui ci est vital
  • 4 ados sur 10 pensent que leur temps consacré au téléphone est raisonnable
  • 7 ados ur 10 passent de  3 à 4h par jour sur leur téléphone et les 3 autres de 1 à 2h par jour
  • 9 ados sur 10 pensent que les écrans n’ont aucun impact sur l’éducation
  • 4 ados sur 10 passent plus de temps sur leurs écrans qu’avec leurs proches
  • 6 ados sur 10 sont plus sur les téléphones qu’à pratiquer une activité sportive
  • La plupart des personnes ont commencé à avoir leur téléphone à l’adolescence.

Alors bon je vais quand même donner mon avis et donner mes réponses  pour ce sondage aussi.

Je pense que 3 à 4h c’est trop pour une journée mais pourtant je passe aussi le même temps.

Je pense malheureusement, qu’il faut bien, entre les cours les devoirs et autre, avoir une pause, que je passe souvent sur mon téléphone.

On occupe le temps sur le téléphone, même le matin, moi la première.

Pour moi les écrans ont un impact sur l’éducation car comme  on regarde beaucoup les réseaux sociaux et bien d’autres choses,  notre cerveau retient ces informations là, pour la plupart les devoirs son bâclés pour pouvoir retourner sur les réseaux…

Personnellement je pense passer plus de temps avec mes proches qu’avec mon téléphone et les autres écrans.

Moi aussi, j’ai eu mon téléphone vers l’adolescence. Pour l’activité sportive je passe plus de temps à pratiquer qu’à être sur mon téléphone, j’aime trop faire du sport ça détend et on lâche prise et puis cela est bon pour la santé de bouger plutôt que de rester inactive ;-).

Voilà c’est tout pour moi au sujet des téléphones je vous laisse voir le point de vue de maman K maintenant….

Quand le smartphone devient insuPORTABLE !

Le mot de Maman K

Le matin, le midi, le soir….Dans la voiture, dans la rue, dans sa chambre, dans la salle de bain… »Jamais sans mon tel portable » cela pourrait être le titre d’une caricature comique si cela faisait toutefois sourire ou rire les parents.

C’était comment pour nous avant ?

Nous, très anciens ados et vieux « bolos » en devenir, sommes nés avec le téléphone des années 80, le combiné rétro, et la numérotation en tournant le cadran. J’avoue, je faisais partie de ses aficionados du téléphone, de longues conversations à refaire le monde entre copines, assise sur ma chaise à tortillonner le fil du combiné je pouvais passer des heures à parler et à rire de tout de rien…Et puis au lycée : le téléphone PORTABLE ! Fête nationale: complètement accro aux communications en mouvement j’ai forcément toujours été séduite par cet accessoire vital.

Puis un beau jour, Miss K, nous avons découvert internet…Le 56 Ko et son mythique bruit de tentative de connexion, les sites comme Napster, émule, les adresses caramail etc…

Bon tout ça ne te parle pas évidemment mais c’est juste pour te dire que notre génération aussi grandi avec l’évolution et quand internet est finalement arrivé sur nos téléphones portables Wouah ! On était les rois du pétrole !

Oui ta mère est un dinosaure, trop « has been » et oui « ça date!!! »

Mais tu vois Miss K, nous avons un avantage considérable sur votre génération, c’est que nous finalement nous avons vécu la vie sans portable et avec portable….Il nous reste parfois une certaine lucidité et un peu de recul sur tout cela car nous avons aussi connu les balades entre copines avec comme seule accessoire nos délires et nos jeux simples, le plaisir d’apprécier le monde qui nous entourait et ne pas être esclave de cet objet controversé. Je ne dis pas que l’on vivait plus intensément que vous mais différemment.

En effet tu as raison Miss K je radote 😉

Le bon côté des choses :

Les enfants et les ados d’aujourd’hui sont forcément plus à l’aise avec des smartphones que certains adultes. Peut être que voir le positif et non la menace dans cela est un côté optimisme pour percevoir ce sujet tabou.

Un réel réseau d’entraide se forme également pour les devoirs par exemple…Ils s’organisent, se tel par vidéo-conférence, ils ont le réflexe de gagner du temps via les nouvelles technologies.

C’est aussi une sorte de nouvelle forme de journal intime, la story de Snap peut être considérée comme un fil conducteur où l’on déverse ses sentiments, un journal version 2,0 qui sert à s’exprimer.

Il y a c’est vrai une forme de développement de la vie sociale, liée à la rapidité de circulation d’une information aujourd’hui. Créer un groupe WhatsApp pour savoir qui amène quoi à la soirée à effectivement un côté pratique et les conversations cimentent à leur façon l’amitié entre adolescents.

D’après Jane Nelsen (docteur en éducation et thérapeute familiale) et Lynn Lott (thérapeute familiale) et Béatrice Sabaté (psychologue clinicienne, adaptatrice de l’ouvrage en France) dans leur livre- La discipline positive pour les adolescents : « Les échangent en messageries instantanées favorisent le lien social à plusieurs niveaux: ils renforcent un lien existant avec une personne proche au même titre que le téléphone ou la rencontre physique. Il permettent de garder le contact avec des personnes moins proches et d’entretenir son réseau social. Enfin, ils ouvrent un champ de découverte et de rencontres virtuelles du réseau fréquenté. En ce sens c’est un espace riche en construction identitaire pour le jeune. Ainsi internet est devenu en peu de temps un lieu de sociabilité identitaire pour le jeune »

… »Notre rôle de parents est d’aider nos enfants à trouver le juste équilibre dans leur envie de socialiser. Ceci peut relever du défi : tout d’abord parce que nous ne partageons pas forcément  la même notion de l’équilibre que celle de nos enfants, et d’autre part, parce que nos propres vies ne sont pas toujours des modèles d’équilibre ».

Mais alors pourquoi les parents s’inquiètent et pourquoi les ados nous trouvent « relous » ? (et nous aussi d’ailleurs)…

Car l’usage disproportionné du téléphone,(outre le fait que les ondes et le Wi-Fi peut finir par faire une grosse bouillie de vos jolis petits cerveaux si réactifs), peut engendrer bons nombres de risques plus ou moins majeures…

En voici, entre autres, les principaux que j’ai répertorié par ci par là (il y en a d’autres bien sûr ):

  • Une forte dépendance voire une grande accoutumance au portable
  • Des insomnies très néfastes sur la croissance et ayant comme répercussion par effet domino logique une hausse de l’échec scolaire.
  • Une incitation à la violence et une banalisation de celle-ci pour certains « accros » aux jeux violents en ligne
  • Un réel danger vital, lorsque l’on parle à Erica 12 ans, qui s’avère être en réalité Robert 62 ans…(et je ne te décris même pas le personnage je flippe rien qu’à écrire ces lignes)
  • Les situations de harcèlement, la divulgations d’image intimes, les rumeurs amplifiées et divulguées à vitesse grand W (comme Wi-Fi bien sûr)
  • Le développement des angoisses ou de phobies d’être sans portable (et oui cela existe aussi)
  • La géolocalisation des photos à éviter car là aussi le dégoûtant Robert te repère plus facilement.
  • Vos petits yeux qui s’abiment et les rendez-vous chez l’ophtalmologue qui se multiplient
  • Confondre Intox et info

Et non miss K je ne peins pas le tableau en noir, ces risques sont bien réels…

Alors on fait quoi ?

Toi ? Moi ? Les autres parents? Les autres ados ? Comment trouve-t-on intelligemment un terrain d’entente à mi-chemin entre l’apprentissage des nouvelles technologies et la vie familiale?

Voici quelques exemples de suggestions tirées des 23 proposées par Jane Nelsen et Lynn Lott:

  • Donner à l’ado des choix limités sur la durée d’utilisation des écrans. On établit avec eux un temps global d’écran par jour (en dehors des devoirs) qui varie en fonction de l’âge de l’enfant et du moment (en semaine, le week-end…) Ceci leur permet de devenir responsable et d’apprendre à s’autoréguler.
  • Décider ensemble les heures et les modalités de la pause nocturne pour les portables et les écrans (boîte à portables entre autres, de 22h à 6h du matin par exemple). Certains ados sont sur leur messagerie la nuit et se demandent pourquoi ils sont fatigués et grincheux le lendemain.
  • Inviter l’enfant à parler de ce qu’il voit et fait sur les écrans
  • Envisager, de façon ludique, un temps sans télé : une journée par semaine ou par mois qui laisserait le champ libre à davantage de discussions et à notre créativité?
  • Faire une recherche ciblée sur Internet pour bénéficier de la pléthore de suggestions pour aider les parents à accompagner leurs adolescents dans le bon usage des nouvelles technologies

Sur le sujet, un autre ouvrage est tout aussi utile et agréable à lire « Portables, la face cachée des ados« , de Céline Cabourg (rédactrice en chef des pages tendances de l’OBS) et Boris Manenti (chef de la rubrique High-tech de l’OBS). Les auteurs référencent tout d’abord chaque réseau social et ses caractéristiques ( youtube, Facebook, snapshot, musicaly…) puis nous expliquent le comment du pourquoi des comportements de réflexe ou parfois d’addiction complète au téléphone portable.

Du petit déjeuner au coucher, on redécouvre notre ado…au son des notifications…

Les solutions proposées tout au long de l’ouvrage par des coachs en développement du personnel, des membres de la CNIL et autres intervenants:

  • Susciter le dialogue :  » La sensibilisation fait évidemment partie du rôle des parents.Il ne faut pas lâcher son enfant sans le prévenir des risques. C’est vrai dans la rue comme sur internet. Il faut l’accompagner et être vigilant, pour qu’il sache comment réagir quand un problème apparaîtra. Mais aussi pour qu’il se sente libre de pouvoir en parler à ses parents… »
  • « il faut enseigner le respect de l’autre, la dignité humaine, etc. La principale idée est que l’enfant doit réfléchir avant de publier en ligne, aussi bien que sa responsabilité dans une publication que dans les conséquences potentielles futures. »
  • « pas de téléphone à table! Le temps du dîner en famille est l’occasion rêvée pour ouvrir une discussion avec ses enfants, installer un vrai échange. »
  • « Psys et coachs sont unanimes : les moments de déconnexion font du bien….il convient de donner une heure couvre-feu à ses ados. »
  • « Quand elle est installée, avec du dialogue, de la confiance, et une autorité parentale bienveillante et acceptée, alors la problèmatique numérique se résout d’elle même »

J’encourage les parents lecteurs à lire ces ouvrages, qui sont non seulement instructifs mais toujours dans une optique d’accompagnement déculpabilisante. (je n’aime pas lire des ouvrages négatifs et moralisateurs…)

Alors miss K notre programme face à ce sujet controversé :

Nous allons garder la boite à portables en place, continuer à se désarmer à heures fixes (aussi bien les parents que les ados! je prends mon entière part de responsabilité sur le modèle que je transmets moi la geekmom accro aux nouvellestechnologies) et on continuera à s’aérer et à discuter du million de bêtises que tu as envie de nous dire…Et j’y pense :  tu n’aurais pas une choré qui m’attend par hazard ;-)?

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